Lu dans les années 90.....
éditons le livre de poche de 1983
Quatrième de couverture
Rastignac est un jeune provincial qui cherche à s'insérer dans la société parisienne. Il lui manque les manières et l'argent. Pour parvenir, il côtoie les
femmes du monde, mais reste attaché à son voisin de la pension Vauquer, le père Goriot, vieillard malheureux abandonné de ses filles. Vautrin, forçat évadé, Marsay, politicien ambitieux, et
Rubempré, écrivain talentueux, sont animés du même désir de pouvoir. Ils apprennent, chacun à leur manière, les complicités et les alliances indispensables dans une société gouvernée par
les intérêts. Seules figures du désintéressement : le père Goriot, vaincu par son amour paternel, et Mme de Beauséant, abandonnée du Tout-Paris. La passion bout dans cette maison comme dans
une cocotte-minute, les pages se tournent toutes seules ; c'est que chaque palier de la pension Vauquer est devenu, un étage de ce que Balzac vient de concevoir : La Comédie
humaine.
Mon avis
J'ai lu ce livre au collège, où il m'a fait passer des heures affreuses car j'ai détesté cette histoire. Je l'ai relu bien plus tard, il y a cinq ou six ans,
et là j'ai su apprécié à sa juste valeur ce magnifique roman. Je ne regrette absolument pas de l'avoir relu, si je ne l'avais pas fait je serais passé à côté de quelque chose.